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Azoah

by Azoah

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1.
Al Kepun (free) 04:36
Al Kepun, roi du sexe et prince de Lu. Prince de « j’ai lu dans tes courbes », je suis fourbe, accro au cul ! Pas d’arme dans les mains pour casser ton magasin. Mes hommes de main, demain, demanderont qui est la victime d’Al Kepun. J’ai hâte comme un chapeau, et s’il m’arrive de l’enlever, Le rendez-vous se f’ra plus tôt. J’ai une mission à entamer. Haut les mains, haut les cœurs ! Le gang bang ne m’écœure guère ! Je n’fixe pas d’horaire, repère seulement quelques amants. Si sa dame est terroriste, je f’rai monter ma tour. Si madame se terre aux risques, elle attendra son tour. J’ai hâte comme un chapeau, et s’il m’arrive de l’enlever, Le rendez-vous se f’ra plus tôt. J’ai une mission à terminer. Je m’adonne chaque week-end à travailler les vierges prudes. Dante, lui le sait, qu’un des cercles du Tartare pourrait m’être consacré car Mon plumeau est tricard, mon pinceau étriqué ! Les madones, ce week-end, sont tombées dans mon piège, peu prudentes. Dante, lui, le sait que l’huile et le seigneur seront toujours appliqués ! Notre père, vous êtes aux cieux. Notre père, vous êtes aussi odieux que l’enfer. C’est les autres ! On n’a rien demandé, on a pourtant tout eu ! Tout tu, en silence ! Dur comme du fer, mais pacha comme un dieu en chien. On peut jouer à Chat ? Comme enfermé, j’suis tricard, en prison, au Tartare. J’ai raison. Gangster keutar !
2.
J’ai cette dette, j’essaye de t’aider. Mais tu ne veux pas m’accorder la moindre audition. Tu vois pourtant que cette fête a plaidé pour la destruction de l’intellect. Je suis détective privé de dessert. Alors, crois-moi, j’ai raison. Comment aborder l'histoire des 4 personnages ? Cette question me taraude. Dois-je les haïr, les détruire ? Dois-je les aimer, les épauler ? Je suis partagé ! Leurs tristes mines me fascinent, leur attitude désinvolte récolte le renouveau de la révolte. Dois-je me laisser tenter ou rentrer le dos courbé ? Je ressens au fond de moi l'infusion du bouillon, L'appel de la fusion, l'explosion, la macération, le rugissement du lion ! La casquette à l’envers, j’entame le calvaire de l’enquête. Je déambule dans la cafet’ toujours en quête de l’élite. Alimentaire mon cher Watson, j’ai trouvé là un acolyte à tendance cannibale, mais avant tout alerte ! Je n'impose aucune condition, je me nourris de cris et de lamentations. Je n’ai que l’air d’un Sherlock du choc, Alors ne sois pas choqué dès lors que j’invoque la vérité. File-moi les bons arguments que je puisse gerber à la gueule des médisants. Mon assistant doit gâcher la fête, je ne veux pas qu’il taquine seulement ! Je veux détruire les empires, les suceurs de sang, les vampires. Toujours en quête de blonde platine à mixer à la machette ! Je veux rayer les ordres et les lois en pointant l'injure du bout de mon doigt ! C’est un décor suffisamment ghetto pour notre concerto Grind et gore. Place aux critiques culinaires d’Hannibal Lecter ! Des corps décomposés doivent compléter les fruits de mer. Un festin de moules à la crème dans une orgie Crabcore ! J’ai l’intuition que tu s’ras impuissant si Aïtken l’inquisiteur s’occupe de la cuisson. Cracher des braises sur un feu de colère Où les flammes s'embrasent du fin fond de mes viscères. Voir la lumière, diviser les ombres, et brûler la terre dans mes pensées les plus sombres. L’invasion commence, la conversion se passera de commentaires. Je sais comment taire vos propos taris par vos tares, car, tard le soir, J’enquête les esprits précaires propices au barbare-becue ! On adopte, jusqu’à la fin de nous jours, la position de l’insoumission ! Cracher des braises sur un feu de colère Où les flammes s'embrasent du fin fond de nos viscères. Voir la lumière, diviser les ombres, bruler la terre dans nos pensées les plus sombres.
3.
Azoah n’est pas des plus keutars. Azoah n’est pas non plus flemmard, mais pourtant se permet, De temps en temps, le privilège d’avoir ce flegme apparent. Parents de la flemme ! Quand parfois, il ne suffit pas de confondre, en flemmardise, privilège et plaisir. Ma gourmandise mêle le calme et le vice, le charme de tes actions. Mon état s’empire, mais, sans peur, j’aspire et j’espère, Que cette comptine câline, ce conte sans adultère, ne te lassera pas. Mais jamais marre ! Quand elle peaufine sa peau fine pour qu’on se rode, again, sans haine. Mais jamais marre ! La fatigue pour ceux qui s’aiment, puisque, par flegme, Quand deux corps se prélassent, chacun sa place !
4.
Aqueux Jauni 04:09
Il n’y a pas d’anarchiste qui n’soit pas soumis à la loi d’la gravité, Alors tout l’monde saute ! Sans exception, même toi dans l’fond ! Elle est morose cette fête. Est-ce l’overdose de cacahouètes ? Après le passage du goinfre aux gaufrettes, il faut éliminer les traitres ! Veux-tu ta dose de prose pas sage ou dans ta peau d’enfant badaud du stimulant ? Plutôt simuler que s’humilier violemment. Je dis la vérité, parfois. A défaut, je deal les verres mérités. J’ai des faux et l’épée des Milles Vérités des fois qu’il faille lutter l’épidémie de velléités. Jamais je ne mens, je suis bien trop bourré ! Bois, bois ! Pas de bride si t’as la patate ! Pas de ride si t’as la pâteuse ! Je te jure ! Ma liqueur est la cure, sans lacune elle attaque au cœur ! C’est la corne d’abondance, vivement la guerre atomique. On s’enferme et on fornique ! En cadence, les verres s’enchainent et les verbes s’emmêlent Tandis que, mécène de fer, mes serres se ferment sur ce Mélo-Posse d’Emo posés. Je suis un démon posté près des mets importés, les griffes à portée ! Il devient menaçant… Pas étonnant, la fête est agaçante. La prise d’initiative devient une prise débilitante. Je me fais chef des méfaits fêtards ! Veux-tu ta part d’Hépar pourrie ou dans ta bouche d’enfant badante des bouts de verre ? Ma sœur, ne te vois tu pas vomir ? Avale n’importe quoi, la prohibition n’est plus là. Le pro de la boisson est las de tes erreurs ! Elle est morose cette fête, il faut éliminer les traitres ! Je ne brade pas mon pit, je recrute les néophytes ! Je recrache sur les lâches ! Lynche ! Le moindre spiritueux efface le spirituel. Et face au problème d’une fosse trop peu tranquille, le public a dévoilé son tendon d’Achille. Tant de débit pour une horde débile ! Il n’y a même pas débat. Je n’aime pas déblatérer si le dialogue est à jamais enterré.
5.
La porte est ouverte sur l’ultime bac à sable. Prévois de prendre un sac à linge sale pour la moindre perte. Petite perle mais fracas malgré tout. Moult tas s’empilent dans les moindres recoins de ce bordel. Quand ton antre s’avère soumis à diverses tendances, Tandis que dix vers de terre s’agitent dans de la fiente, réagis ! Sois compatissante, et prête-toi au jeu ! J’ai chié dans mon froc, il y en a pour ton fric ! J’offre de l’or noir contre un peu de ton air pur ! La porte est fermée sur cette vaste litière. Laisse-toi faire si je te propose des mets raffinés. Tu viens de croiser le Fier ! Solitaire guerrier, je défends la fange. Prête-toi au jeu ! J’ai chié dans mon froc, il y en a pour ton fric ! J’offre de l’or noir contre un peu de ton air pur ! Bordel ! Quand on glisse sur la pisse, c’est marée haute de messes basses. Prends donc un peu de merde en tube pour te brosser les dents. Dorénavant, l’orgasme en boite est un produit payant. Hey attends, t’es musicien ? J’ai repris un super morceau pour gagner l’émission Spot Chtar ! Il y a un refrain qui fait nanananana… I’m a Scatoman ! Matière fécale feutrée à toutes tes fenêtres. I’m a Scatoman ! Même calfeutrées, je laisse l’odeur passer. Je répands le drop D pour que, pendu au bout du lacet Ré, Ceux à qui j’ai accordé ma confiance aient, par ma corde, le cou lacéré ! Ton faux tapage est taciturne. Hausse le ton ! Tu peux ne pas être un pion, mais bien un scion de la création. Nappage nocturne dans la cour de récréation ! Cache la crème du son par un crime de selles. Et scelle de cellophane les genres qui se fanent. Ton faux tapage est taciturne. Hausse le ton et partage donc ta création. Tu peux ne pas être un pion. J’ai fermé la porte de l’antichambre aérophage. Ainsi les genres seront en cages si les gens restent sages. Les odeurs accumulées, mêlant colique et nostalgie, me rendent mécontent et incontinent Car mon malheur déborde !

credits

released March 3, 2015

Paroles et musique par Azoah, excepté "Bouillon de Cultistes", paroles par Azoah et Guillaume Azé (larosenoire.bandcamp.com)
Enregistrement et mixage par Jérôme Cousin (studiovetter.blogspot.fr)
Mastering par www.sylvainbiguet.fr
Visuel par Antoine Defarges à hwww.headbangdesign.com
Logo par Marion Bonnouvrier (m-breakz.wix.com/breakz)
Label la Voix Des Hères
Collectif : tomahawk-music.eu

Azoah remercie ceux et celles qui ont participé de loin ou de près à cet album.

Azoah :
Thomas Courtin : guitare / Chant
Mathieu Alhachimi : basse
Thibaud Lebreton : batterie
Dimitri Livet : guitare

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Azoah Rennes, France

AZOAH
METAL FUSION
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